dimanche 25 août 2013

Ma motivation à critiquer les modèles de la physique actuelle (3ème partie)

Comment j'en suis venu à critiquer les modèles de la physique actuelle

C'est d'abord pour combattre des idées «métaphysiques» (faisant appel à des explications hors du monde physique matériel) que je me suis intéressé de plus près aux théories de la physique actuelle. J'étais très sceptique face à une interprétation «subjectiviste» de la théorie de la relativité où toute référence absolue disparaissait. J'étais encore plus sceptique face au milieu statistique fantôme de déplacement des particules quantiques. Cela me faisait beaucoup trop penser au milieu métaphysique où logent les anges et les démons des esprits mystiques. Avec mon bagage rigoureux de formation scientifique de niveau collégial et de formation mathématique de niveau universitaire, je ne pouvais accepter ces idées.


J'ai d'abord douté globalement des théories de la relativité et de la physique quantique, pour me rendre compte rapidement qu'au niveau des résultats expérimentaux, les prévisions et les calculs de ces théories étaient valides avec une très grande précision. Et je me suis rendu compte que loin de nier tout absolu, la théorie de la relativité était elle-même fondée sur la limite absolue de la vitesse de la lumière. Ce qui clochait en fait, ce n'était pas les formules et les calculs de ces théories, mais bien les interprétations que certains en donnaient.

De plus, je savais que des problèmes d'interprétation semblables avaient été rencontrés tout au long de l'histoire des sciences. Par exemple, j'avais pris connaissance des débats historiques qui avaient précédé le triomphe de la théorie atomique pour expliquer le comportement des gaz. Dans ces débats, certains physiciens  prônaient tout bonnement la disparition de la matière pour mettre de l'avant une théorie basée sur de l'énergie abstraite. Un peu comme le fait l'espace mathématique des statistiques de la physique quantique pour certains: pour eux, cet espace abstrait n'est pas seulement un outil de calcul mathématique, il remplace carrément l'espace réel de déplacement des particules. L'histoire se répète ici à un autre niveau.

L'étude de l'histoire des sciences m'a renforcé dans ma détermination.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire

Partagez