jeudi 2 décembre 2010

En réponse au lock-out, pourquoi pas un mass-média indépendant?

Quebecor - Un bilan éthique et démocratique entaché | Le Devoir: et Commission parlementaire sur le lock-out au Journal de Montréal | Rue Frontenac - Les révélations faites lors du congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) vont à l'encontre des assurances données par Québécor en 2001 à la Commission de la culture de l'Assemblée nationale du Québec sur les impacts des mouvements de propriété dans l'industrie des médias. Un commentaire d'un lecteur de l'article de Rue Frontenac (Fred Brisson) dit que la réponse des journalistes et travailleurs du Journal de Montréal devrait être «Que Rue Frontenac devienne un quotidien sur papier et qu'on enterre Le Journal de Montréal». Je crois que le moment serait propice à la mise en place d'un réseau médiatique indépendant et à large diffusion, incluant un site web, des émissions vidéo et un journal écrit. Pour cela, il faudrait une alliance entre divers groupes dont les lock-outés du Journal de Montréal, une ou des centrales syndicales et divers mouvements progressistes. Malgré toutes les embûches que rencontrerait un tel projet, j'espère que l'occasion finira par faire le larron, comme le dit le dicton. Il faut d'abord un immense désir d'aller de l'avant et la volonté de surmonter les obstacles et les tours d'ivoire.

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